nouvelle fantastique

voila c'est une nouvelle fantastique(fantastique c'est le genre litérere ne pas se trompé lol) ecrite par une copine,moi perso j'adore je trouve sa super beau!!dite moi ce que vous en penser svp?!je sais que c'est long mais c'ets super prenez le temps de lire,vous serez pas décu!!allez dite votre avis :lol:



Le rêve emprisonné



L’année dernière, je fus invitée chez une amie pour une dernière soirée… Une dernière soirée, car c’était en quelque sorte une « fête d’adieu » avant le départ définitif en Angleterre de mon hôte et amie, Sofia, mais aussi de tous les autres invités. J’étais la seule à rester en France.
Ce fut une soirée remplie de rires et de souvenirs. Sofia avait réparti les places où chacun de ses invités pourraient aller se coucher. Moi, c’était une des chambres d’amis, celle qui se situait au premier étage. A quatre heures du matin, je m’y rendis, exténuée…
Je m’endormis rapidement, la tête enfouie dans l’oreiller, mes mains sous ce dernier. Durant la nuit, mon sommeil s’interrompit quelques fois, mais ces interruptions étaient de courte durée : une ou deux minutes, tout au plus.
Aux alentours de dix heures, le soleil vint me tirer une bonne fois pour toutes de mon sommeil. Je m’étirai, quand je sentis un objet sous l’oreiller. Je soulevai donc celui-ci… Un sentiment de stupeur s’empara de moi… C’était un revolver ! Je me dis que ce devait être Sofia et les autres qui avaient dû me faire une farce… Je commençai donc à me lever afin d’aller leur demander si c’était bien eux qui m’avaient glissé ce –faux ?- revolver sous mon oreiller, lorsque je la vis… « Qui ? » me direz-vous… Mais ce qu’il conviendrait plutôt de demander, c’est « Quoi ? »… En effet, sur le sol, près de la porte, s’étendait une flaque de sang…
Je me sentais mal à l’aise face à ces deux découvertes, je ne comprenais pas, et je commençais à avoir peur… Je me décidai enfin à me lever, après être restée cinq minutes à regarder avec effroi successivement le revolver et la flaque de sang…
Je sortis de la chambre et me dirigeai vers les escaliers quand j’entendis du bruit provenant de la salle de bain. Je fis donc demi-tour. Arrivée là-bas, je me mis à taper à la porte, tout en demandant s’il y avait quelqu’un. Personne ne répondit, alors j’ouvris la porte. Je ne pus m’empêcher de crier… La baignoire était remplie de sang ! Je courus jusqu’à la chambre de Sofia pour l’avertir de ces étranges évènements. Par politesse, je pris le temps de taper à la porte… Pas de réponse. J’insistai. Toujours rien. Je pensai qu’elle était dans le salon avec les autres, je m’y rendis donc. Arrivée en bas, il n’y avait personne. Je commençai à véritablement m’affoler. Je voulus appeler la police, mais quelqu’un sonna à la porte. J’allais ouvrir, la peur au ventre. Malheureusement, il n’y avait pas de judas ; je ne pouvais donc pas voir qui était derrière la porte. J’ouvris celle-ci avec précaution et je vis avec étonnement que les deux personnes qui avaient sonné étaient des policiers. Je n’avais aucune idée de l’identité de la personne qui les avait prévenu et, étant donné que je n’avais vu personne dans la maison, cela ne contribuait pas à me rassurer…
« Bonjour, Mademoiselle…
-Euh, bonjour Messieurs… Puis-je vous renseigner ?
-Et bien, quelqu’un nous a appelé pour nous dire que des coup de feu ont été entendus et qu’ils provenaient de chez vous…
-Je n’ai rien entendu.
-Nous aimerions tout de même entrer…
-Soit ! »
Je les fis entrer, non sans paniquer…L’un d’eux monta à l’étage tandis que l’autre inspectait le salon. Je restai dans l’entrée, sans savoir ce qu’il se passait. Au bout de quelques minutes, celui qui était en haut redescendit, l’air flegmatique. Il alla rejoindre son coéquipier dans le salon. Je les vis tous deux remonter à l’étage. Lorsqu’ils furent dans l’escalier, je me dirigeai vers eux et leur demandai ce qu’il se passait. L’un d’eux me regarda avec insistance, mais je n’eut droit à aucune réponse. Je restai toujours immobile, stupéfaite et très effrayée.
Ils réapparurent quelques instants plus tard. Ils s’approchèrent de moi, et l’un d’eux me dit :
« Mademoiselle, suite à ce que nous venons de voir, nous allons vous emmener au commissariat. Nous allons alerter une équipe d’experts qui examinera la maison. Pour l’instant, je vous demanderai de mettre vos mains derrière le dos et de bien vouloir nous suivre. »
Ma réaction ne fut pas immédiate. J’étais prête à m’évanouir, si bien que je commençais à m’appuyer sur la poignée de la porte. Je fus aussitôt soutenue par l’un des policiers. Je repris lentement mes esprits et exécutai les ordres qu’ils m’avaient donné. Le deuxième policier sortit son téléphone portable, composa un numéro et partit au fond du salon. J’imaginais bien qu’il était en train d’appeler la police scientifique… J’étais complètement bouleversée, je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire… Et même si j’avais su, je n’en n’aurais pas eu la force…
Ils m’emmenèrent jusqu’à leur voiture. Je n’avais jamais imaginé un jour entrer dans une de ces voitures de police, comme les criminels… Je n’avais vu cela que dans les films. Je sentis des larmes couler sur mes joues… J’entrai donc dans cette voiture, peu rassurée. Je ne savais pas encore ce qui allait m’arriver.
Nous fîmes trois ou quatre kilomètres avant d’arriver devant ce grand bâtiment ou l’inscription « COMMISSARIAT » dominait la rue. Je paniquais. Depuis mon réveil, ce matin-là, tous ces horribles évènements s’étaient enchaînés : d’abord le revolver sous l’oreiller, ensuite la flaque de sang sur le sol ainsi que la baignoire pleine de sang, puis mes amis disparus et enfin cette arrestation inexpliquée et inexplicable… Je me dirigeai à l’intérieur du bâtiment, sous les regards curieux des passants. Je n’avais aucune raison de l’être, puisque je ne comprenais rien de tout ce qui se passait, mais pourtant je me sentais honteuse… Seuls étaient passés ici les violeurs, les pyromanes, les cambrioleurs, les meurtriers etc… Et maintenant, il y avait moi, simple étudiante, comme il y en a tant d’autres en France et dans le monde…
On me confia aux mains d’un certain Sergent MERCIER. Son regard était agressif et cruel. Il me tira violemment le bras et m’emmena dans un long couloir. Nous nous arretâmes devant une grande porte blanche où se tenait l’inscription « SALLE D’INTERROGATOIRE ».
Il me fit entrer en première. La pièce était toute blanche, avec un grand miroir sur l’un des murs. Il n’y avait qu’un plafonnier pour éclairer toute la salle. Au sol se trouvait une simple table, entourée de deux chaises. Le sergent Mercier me demanda de me retourner. Je m’exécutai. Il me retira mes menottes. Mon premier réflexe fut de me masser les poignets, qui m’étaient extrêmement douloureux… Puis je m’asseyais sur l’un des sièges.
Pendant plus d’une heure, le sergent me posa de nombreuses questions sur la longue soirée d’hier, sur ma nuit, sur mes courts réveils… Il me prenait vraiment pour la coupable –mais la coupable de quoi, au juste ?- et je sentais une grande haine dans ses paroles. Parfois, il se levait, s’asseyait sur la table et rapprochait son visage du mien, les dents serrées. Dans ces moments-là, je reculais mon siège. Je transpirais. J’avais peur, comme je n’avais jamais eu peur auparavant… Je lui dit qu’à certains moments, dans la nuit, je m’étais réveillée puis rendormie aussitôt. Il me demanda les heures. Je fus incapable de répondre. Il me demanda ce que l’on avait fait la veille avec mes amis. Je lui répondis que nous avions diné et que nous avions bu quelques verres. Je posai une –et une seule- question au sergent :
« Je voudrais juste savoir à quoi ressemblait la voix de la personne qui vous a appelé, et à quelle heure cette dernière vous a appelé… »
Il appela donc le policier standardiste qui avait reçu l’appel. Il s’agissait d’un certain Mr FABRE. Il répondit que le coup de téléphone fut reçu à neuf heures trente-huit et que ce devait être moi qui avait appelé puisque la voix était tout à fait similaire à la mienne. Il avait l’air sûr de lui, ce qui ne faisait que me rendre encore plus anxieuse. Jamais dans la nuit ou même dans la matinée je ne les avais appelé ! Je m’évanouis sur ma chaise.
Un quart d’heure plus tard, je me réveillai sur… un lit de prison ! Je me levai d’un bond. J’observai les lieux : une cellule d’environ huit mètres carré, une grande porte, un bureau rempli de photos et de dessins. Je n’étais donc pas seule. En effet, derrière moi, il y avait un autre lit. Une femme d’une trentaine d’années, qui ressemblait à une prostituée, l’occupait. Elle me dit :
« Ah ben tu t’es enfin réveillée ! »
Elle se leva et se dirigea vers moi, une cigarette à la bouche. Elle me tendit une de ses mains.
« Je m’appelle Natacha, et toi, c’est quoi ton nom ?
-Marie. »
Elle m’expliquai qu’elle était là depuis bientôt quatre ans, pour avoir été prise en flagrant délit de consommation d’extasy, mais bien sûr, beaucoup d’autres choses avaient aggravé son cas. Elle commença à me raconter tout cela mais elle fut coupée par le bruit strident de la porte qui s’ouvrait. Une policière entra, suivie d’un grand homme avec des petites lunettes rondes. Il me tendit la main.
« Bonjour Mademoiselle, je suis Maître ROCHARD. J’ai appris ce qu’il s’était passé, et j’aimerais avoir un entretien avec vous. »
Je sortis donc, accompagnée de Maître Rochard. Nous retournâmes dans la même salle d’interrogatoire que celle où je me trouvais quelques heures auparavant. Il me présenta aimablement la chaise, tout en me souriant. Je lui dis « Merci », m’asseyai et lui souriai à mon tour.
« Alors, Mademoiselle HENNEBONT, que s’est-il passé chez votre amie pour que vous vous retrouviez en si mauvaise posture ?
-Et bien, Maître, pour vous répondre sincèrement, je n’ai aucune idée de la raison de ma présence ici…
-Savez-vous que du sang et un revolver ont été trouvés chez votre amie ?
-A vrai dire, je les ai aussi trouvé ce matin.
-Pouvez-vous me dire où ? »
Je le voyais prendre des notes dans un petit carnet.
« Le revolver se trouvait… »
Je ne pus finir ma phrase, j’avais trop peur.
« Où se trouvait-il Mademoiselle Hennebont ? N’ayez pas peur, je suis votre avocat…
-Dans la chambre où j’ai dormi, sous l’oreiller.
-Est-ce vous qui l’avez mis à cet emplacement ?
-Non, ce matin, lorsque je me suis réveillée, il était sous l’oreiller, alors que lorsque je me suis couchée, il n’y était pas…
-Pensez-vous que quelqu’un l’a glissé lorsque vous dormiez ?
-Je ne peux l’affirmer, mais seulement il n’a pas pu arriver tout seul… »
L’entretien dura une heure et trente minutes. Maître Rochard me posait presque les mêmes questions que le sergent Mercier, mais lui préparait ma défense. A la fin de la journée, j’étais épuisée, et cela me déprimait de me dire que je n’allais pas rentrer dormir dans mon lit ni même chez des amis, mais dans un lit de prison… De plus, l’idée que Sofia et les autres invités avaient disparus me tracassait…
Le lendemain matin, je me réveillai doucement. J’avais mal dormi. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était. Pourquoi personne n’avait donné signe de vie, il devait bien y avoir quelqu’un qui savait que j’étais ici, dans cette minuscule cellule, accompagnée d’une prostituée droguée et alcoolique… Le sergent Mercier rentra dans la cellule, s’approcha de moi et me dit :
« Le procès se déroulera dans un mois. En attendant, vous restez ici. »
Il partit, sans même un mot ou un regard de compassion… Je me mis à pleurer, et ce jusqu’à ce que je n’ai plus aucune larme qui puisse sortir de mes yeux…
Je passai un mois horrible, j’attendai avec impatience le procès, où Maître Rochard me défendrait et où il serait prouvé que j’étais innocente.
Le procès arriva. On m’emmena dans une voiture de police. J’étais devenue frêle et sale. Arrivée au tribunal, Maître Rochard présenta ma défense. Le jury devait se réunir, je n’aurais donc le verdict que deux jours plus tard. Les deux jours d’attente passèrent horriblement lentement, mais ils passèrent, bien heureusement…
Me voilà assise dans le tribunal. Le juge prononce cette phrase :
« Mademoiselle Marie Hennebont, vous êtes accusée d’avoir fait disparaître sept corps, et auparavant de les avoir tué. Je rends désormais le verdict du jury ici présent. Vous êtes… »
Je me réveillai d’un bond. J’étais assise, dans la chambre d’amis du premier étage de la maison de Sofia. Je vérifiai sous l’oreiller. Pas de revolver. Je regardai près de la porte. Pas de flaque de sang. Alors tout ceci n’était qu’un vilain cauchemar ? Je souris. Je descendit dans le salon, où je trouvai ce mot « Nous avons appris tout ce qui s’était passé, désolé, nous étions parti faire une course. Bises, Sofia et les autres. » De quoi parlait-elle quand elle disait « tout ce qui s’est passé » ? Je vis une lettre décachetée posée sur la table basse. Elle était à mon nom. Je regardai ce qu’il y avait. A mon grand étonnement se trouvait un avis de relaxation signé du juge qui avait présidé l’audience du procès… de mon rêve !
Mais qu’est-ce que tout cela signifiait ?

j'aime trop elle est trop forte ta copine !! elle est trop géniale l'histoire !! tu lui dira bravo de ma part lool

personne veu donner son avis?!hou hou les gens?!svp

el é tro belle! jété a fon dedans! Tu lui diras félicitation !!
C tro tro bien écrit!

franchement! l'enigme est vraiment très interressante! cela mériterait une suite. Le mystère reste entier! Je dis BRAVO! :lol:

Si elle en fait d'autre tu pourra nous les faire voir ? parce que c'est vrémen trop bien !!

ben si elle veut bien pourquoi pas oui jvous les montrerais!!merci en tout cas de prendre le temps de le lire et de donner votre avis..

C long mais c trop bien!!! Ya pas une suiteeeee? loool ca fe trop de suspens la!! loll

J'ai bien aimé ^^ Bravo à ta copine

Voila un autre texte ecri pas la meme personne! dite ce que vous en pensez svp ^^


Confession d'une ado sans histoire!


12 Mars 2004

Coucou toi ! Je suis heureuse aujourd'hui ! Tu ne vas pas en revenir, mon cher journal... Alexandre Jahn, tu sais, le blond de terminale ES, et bien il est venu me parler aujourd'hui ! Bon, c'était pour me demander l'heure, mais c'était cool quand même !
Sinon, Maman m'a engueulée. Elle me trouve trop « gamine ». D'ailleurs, elle me conseille d'arrêter d'écrire des niaiseries dans mon journal. Moi, t'abandonner ? Jamais ! Elle ne connaît pas la Sophie Charpentier que je suis réellement.
Je te laisse, je vais réviser le bac blanc chez Sacha.
Gros bisous à toi, je t'adore.

Soph



14 Mars 2004

Coucou mon journal ! Je suis désolée de ne pas m'être confiée à toi hier, mais avec Sacha on est allés au cinéma et ensuite on s'est baladé. C'était génial. J'aimerais tant que tu connaisses Sacha... C'est mon meilleur ami, je l'aime énormément. Toi et lui, vous êtes toute ma vie.
Au fait ! Il va falloir que je te cache à présent, car ma mère n'admet toujours pas qu'à 17 ans, je me confie encore à un journal intime.
Je te laisse, gros bisous.

Soph



23 Mars 2004

Coucou ! Je m'excuse vraiment de ne pas pouvoir t'écrire aussi régulièrement qu'avant, mais avec Maman qui m'interdit, ça ne devient pas facile... Je vais te raconter brièvement ce qu'il s'est passé dans ma vie ces jours derniers. Tout d'abord, au lycée, on a eu la visite médicale. Le docteur dit que je dois aller voir un psychologue qui pourrait m'aider à surmonter mes problèmes. Je n'ai toujours pas compris ce qu'il voulait dire, je n'ai aucun problème, si ce n'est que ma mère m'interdit de faire ce dont j'ai envie. Evidemment, je n'ai rien dit à Maman, elle prend tout au pied de la lettre, et cette histoire aurait tourné en catastrophe si je lui avait raconté.
Ensuite, j'ai dormi chez Sacha l'autre jour. On a joué aux jeux vidéos, et puis on a regardé des films. C'était super. Je vais me répéter, mais Sacha et toi, vous êtes vraiment les seuls qui compte pour moi dans ce monde... Et puis vous êtes aussi les seuls pour qui je compte...
Je te laisse, je te fais de gros bisous, et je m'excuse de ces absences.

Soph



31 Mars 2004

Coucou ! Je viens te parler en coup de vent. Aujourd'hui, j'ai trébuché et je suis tombée sur la tête. Maman m'a dit que ça n'allait pas arranger mon cas qui était déjà grave. Pourtant, je n'ai rien de grave, je suis comme tout le monde, c'est juste Maman qui ne me comprend pas.
Bisous.

Soph




12 Avril 2004

Coucou mon journal ! Comme tu as pu le remarquer, je n'ai plus vraiment le temps de t'écrire. Trop de choses bouleversent ma vie en ce moment. Et oui, je deviens une autre « moi ». D'ailleurs, Maman ne parvient pas à comprendre que la Magali Dubois que j'étais avant ne soit pas la même que celle que je suis maintenant.
Pour te tenir au courant, je vais te raconter ma journée. Ce matin, un élève de terminale S, Sacha si je me souviens bien, est venu me parler. Il m'a dit que je ressemblais beaucoup à une fille qu'il appréciait et qui est partie. Ca me fait plaisir qu'il m'ait dit ça, parce qu'au moins il est venu me parler, alors que tous les autres me dénigrent, je ne comprends pas pourquoi, ce n'est pas parce que je suis nouvelle dans ce lycée que personne ne doit me parler.
Bon, Maman m'appelle, on doit aller à l'hôpital, je n'ai pas bien compris pourquoi, mais en tout cas je vais voir un médecin qui s'appelle Docteur Malengé, mais à ce que m'a dit Maman, tout le monde l'appelle Docteur Maboule, car il soigne les problèmes qui se passent dans la tête. Pourtant, moi, je n'ai aucun problème.
Bisous.

Mag



13 Avril 2004

Salut toi ! Je n'ai pas le temps d'écrire beaucoup aujourd'hui. Juste pour te dire que le Docteur Malengé a diagnostiqué quelque chose de bizarre chez moi, il dit que ça consiste en une personne qui se dédouble, qui a une double-personnalité. Je crois qu'il a dit que cela était une forme de schizophrénie. Maman a beaucoup pleuré en rentrant. Je ne sais pas ce que tout cela signifie, mais je vais devoir quitter la maison pour aller dans une maison spéciale.
Dommage, je commençais à peine à sympathiser avec ce Sacha...

Mag



15 Avril 2004

Coucou ! Ca y est, je suis dans la fameuse maison spéciale. Ils appellent ça Hôpital psychiatrique. Bizarre comme nom ! En arrivant, une infirmière m'a demandé si ça ne me faisait pas trop de peine de quitter mes amis pour venir ici, mais ce qu'elle n'a pas l'air de savoir, c'est que je n'ai aucun ami, aucun... A part toi. Enfin bon, je vais devoir t'abandonner, car Maman veut que je te laisse à la maison, enfin à ma vraie maison.
Je te fais de gros bisous, je t'aime.

Vicky



Cher journal, ce n'est pas Sophie qui t'écrit, ni Magali, ni même Victoria. En effet, ces trois jeunes filles, qui ne forment en réalité qu'une seule et même personne, Audrey Courio, n'existent plus. Pourquoi ? Car chacune d'entre elles, autant Sophie que Magali, et autant Magali que Victoria, ont détruit Audrey. Ma fille s'est donnée la mort. Non pas en tant qu'une des ces trois jeunes filles, non, en tant qu'une autre, Pauline. La maladie a détruit ma fille en lui dédoublant sa personnalité. Alors que Sophie avait un meilleur ami et sortait souvent, Magali était rejetée dans son lycée mais avait sympathisé avec un garçon, Audrey elle n'avait aucun ami, et Pauline était dans l'impasse : elle enchaînait déprime sur déprime. Audrey changeait de personnalité comme de chemise, et Pauline ne lui a pas permis de vivre. De toute manière, autant pour Audrey que pour les quatre autres, ce n'est qu'une libération, la libération de toutes ces souffrances qui n'apparaissent pas dans ce journal, mais que je voyais, moi.
C'est donc la fin des confessions, les confessions d'une ado à priori sans histoire, mais qui en fait détenait en elle cinq histoires.

Franchement super de chez super !!! Les deux sont vraiment très très beau !!! Bravo à leurs auteurs !!!

Trop bien!!!

félicitations, quelle imagiation, c'est très agréable lire, génial !!!

bon euh merci pour vos messages, j'avais demandé à Stella de mettre tout ça sur le forum pour voir les réactions sincères (j'espère qu'elles le sont?), c'est la première fois que je montrais ce que j'écrit, donc j'étais un ptit peu "stressée", mais vos messages m'ont fait plaisir, alors merci beaucoup...

Et pour répondre à certaines personnes, non, Le rêve emprisonné n'a pas de suite, car le but d'une nouvelle fantastique est de laisser le mystère entier afin de permettre au lecteur de s'imaginer plusieurs hypothèses, à lui de se faire sa propre élucidation (jsais pas si ça se dit lol) du mystère... Enfin, dites le moi si je me trompe, mais je crois que c'est ça le but? Bon, en tout cas merci pour vos messages, et puis, qui sait, jvous en ferait peut-être lire une autre un jour, je vais y réfléchir (enfin si ça vous intéresse lol).
Ah oui et aussi merci d'avoir pris el temps de lire un texte un ptit peu long par rapport aux autres qui se trouvent sur le forum =) .

Bizzz

..:*lea*:.. a écrit:

bon euh merci pour vos messages, j'avais demandé à Stella de mettre tout ça sur le forum pour voir les réactions sincères (j'espère qu'elles le sont?), c'est la première fois que je montrais ce que j'écrit, donc j'étais un ptit peu "stressée", mais vos messages m'ont fait plaisir, alors merci beaucoup...

Et pour répondre à certaines personnes, non, Le rêve emprisonné n'a pas de suite, car le but d'une nouvelle fantastique est de laisser le mystère entier afin de permettre au lecteur de s'imaginer plusieurs hypothèses, à lui de se faire sa propre élucidation (jsais pas si ça se dit lol) du mystère... Enfin, dites le moi si je me trompe, mais je crois que c'est ça le but? Bon, en tout cas merci pour vos messages, et puis, qui sait, jvous en ferait peut-être lire une autre un jour, je vais y réfléchir (enfin si ça vous intéresse lol).
Ah oui et aussi merci d'avoir pris el temps de lire un texte un ptit peu long par rapport aux autres qui se trouvent sur le forum =) .

Bizzz

Aah ct toi qui les a écrit!!! loool eh ben j'aurai jamais penser a ca!! En tout cas oui c sincere! C superbo

hé ouai le voile est levé lol c'est léa qui a ecri ces superbe texts!moi en tout cas jador elle a beaucoup de talen la Léa!

franchement t'écri trop bien lea !! c'est super beau !!